5.3.12

Coben Harlan - Sous haute tension


Résumé de l'éditeur:

Vous pensiez tout connaître de Myron Bolitar ? Détrompez-vous. Après "Sans laisser d'adresse", le maître de vos nuits blanches entraîne le plus célèbre agent des stars dans une enquête diabolique, à la recherche d'un frère disparu depuis 16 ans.

Une ancienne gloire du tennis harcelée sur le Net.

Un groupe de rock mythique aux abonnés absents.

Un couple en pleine crise.

De douloureux secrets de famille qui remontent à la surface...

Chantage, vengeance, meurtres, drogue et rock'n'roll. Et si de beaux mensonges valaient mieux qu'une monstrueuse vérité ?

______________________________________________________

Peut-être qu'un jour, on verra Harlan Coben en larmes, ou en rage, parce qu'il aura écrit quelque chose d'affreux, d'illisible & "inlisable". Mais ce jour n'est pas arrivé (ce sera l'heure des loups, et des boucliers fracassés, mais ce jour n'est pas arrivé !).
J'avais totalement oublié le génie de c'grand gaillard. J'avais oublié qu'il peut vous mener en bateau dès la première page. J'avais oublié qu'il n'avait pas son pareil pour emmêler la situation, et la démêler en fin d'ouvrage sans jamais s'planter. Sans jamais qu'on puisse se dire "Oh ! mais c'est pas possible parce que.." ou encore "euh ouais mais nan, pas crédible".

Coben m'avait manqué. Bon. Mais Myron & Win, je ne les avais pas vu depuis une éternité. (Notez, c'est ici que commence la folie. Quand des personnages fictifs vous manquent, que vous avez l'impression que la dernière fois qu'ils sont venus prendre un café date d'il y a trente ans, et que vous espérez les croiser dans la rue..). Leurs petites frasques, les joutes verbales, l'attitude de Win, Moa.
Une des dernières phrases du livre, sur l'amitié Myron/Win m'a vraiment secouée. Ah et tout sur Esperanza aussi, et MB Reps.
Mal de chien = il me faut la suite, avant de cauchemarder.

Ah oui, j'ai vraiment compris pourquoi on appelle ce Môssieur "le maître de vos nuits blanches". J'ai quelques heures de sommeil à rattraper ...

Disponible en grand format: Belfond Noir, 22.50€

Collins Suzanne - Hunger Games.










Je n'ai pas particulièrement envie de développer chaque tome. Non pas pour une histoire de temps, ni de flemme, mais surtout parce qu'une trilogie repose sur ses trois tomes, et les séparer pour en donner un avis à la fois me paraît étrange.
Bref outre ce blabla, j'ai vraiment pris une belle claque en lisant les Hunger Games. A la base j'en avais même pas entendu parler. La première fois que j'ai vu apparaître la couverture du tome 1, c'était sur Tumblr. En me renseignant, j'ai fini par comprendre qu'il avait un succès fou, & que des millions de fan de la série attendaient la sortie ciné.
L'avantage de les avoir lu en retard, c'est que j'ai pu les lire d'une traite, sans attendre que le tome suivant paraisse. Et j'avoue que c'est pas mal du tout, lu comme ça.

Et donc voilà, Suzanne Collins a fait une adepte de plus. Elle m'a fait sourire, pleurer. J'ai eu peur, j'ai eu mal.
Je ne vais rien spoiler, (en même temps, tout le monde sait déjà tout, nan ? ...) mais franchement, le dernier tome est dans mon top 10 des livres qui m'ont le plus traumatisé.

TADAM.